danse & arts visuels pour l'enfance et la jeunesse
ETHER
CREATION 2015
SOLO CHOREGRAPHIQUE & PLASTIQUE
Solo chorégraphique immersif à la jonction entre la danse et les arts visuels, Ether ouvre un espace où le dessin du corps dialogue avec les projections vidéos graphiques, la lumière et le son.
Dans un espace vide, couleur plomb, zébré de dessins mouvants et virtuels, un être évolue, nimbé d’une étrange lumière et de paysages sonores déroutants, à la recherche d’une indicible altérité.
Une expérience magnétique dans une atmosphère nébuleuse.
distribution
imaginé, conçu et dansé par Carole Vergne
chorégraphie, images de synthèse et vidéos Carole Vergne
collaboration artistique Hugo Dayot & Bastien Capela
conception de la lumière Maryse Gautier
régie lumière Stéphane Guilbot
son Laurent Sassi
régie son Benjamin Wünsch
régie plateau Pierre Fouillade
mentions légales
EN ST[OC]K
CREATION 2013
PIECE POUR 5 INTERPRETES
Un projet d’émancipation de la culture occitane pour en extraire la chair créatrice en élaborant une danse comme un mouvement vital.
Initié par l’Agence culturelle de Dordogne Périgord, le programme mémoire(s) de demain est une collecte de visages, de traces, de paroles rassemblés auprès des locuteurs occitanophones naturels du Périgord (les Périgourdins dont l’occitan est la langue maternelle).
Ces résurgences, telles des lucioles qui disparaitraient à mesure que notre regard s’en détournerait, ont constitué la matière première, les rhizomes à partir desquels ont germé les prémices de cette pièce chorégraphique, dans une adresse résolument tournée vers les générations futures.
distribution
imaginé et chorégraphié par Carole Vergne
complicité artistique Hugo Dayot
lumière Florent Blanchon
régie lumière Fabrice Barbotin
son Benjamin Wünsch
régie plateau Gilles Muller
toile de fond Dayot et Vergne
interprétation Estelle Chabretou, Santiago Congote, Hugo Dayot,
Nadehzda Larina, Anthony Michelet et Cindy Villemin
mentions légales
Y'A TROP DE BRUIT POUR QUE JE PUISSE T'AIMER
CREATION 2012
SOLO CHOREGRAPHIQUE
Une chorégraphie dans l’entre, entre l’image et le corps, le visible et l’invisible.
Une composition dans le multiple par un corps aspiré dans le plusieurs, dans le grand, dans le monde, dans une réalité physique et virtuelle, dans un champ de bataille.
Y’a trop de bruit pour que je puisse t’aimer est l’écriture d’une zone de turbulence cherchant des lignes de passage entre les forces.
distribution
imaginé, chorégraphié et dansé par Carole Vergne
regard extérieur Michel Vincenot
lumière Florent Blanchon
son Loïc Lachaise et Johann Loizeau
mentions légales
2° DE LIBERTE SUFFISENT
CREATION 2010
PIECE POUR 4 INTERPRETES
S’il s’agit d’interroger notre capacité à réagir à cette déferlante d’images et d’informations, “le spectateur citoyen émancipé“ que nous devrions être se déclare pris en otage.
Une machinerie qui dépasse l’entendement qui rejette la contemplation, l’hallucination et la singularité.
Le propos est d’essayer d’avoir une approche critique face à l’intoxication optique que nous vivons. Nous absorbons les informations et leurs objets sans distance et sommes les vecteurs d’une pornographie de la diffusion (des images), c’est-à-dire, nous faire avaler n’importe quoi, n’importe comment.
distribution
imaginé et chorégraphié par Carole Vergne
montage vidéo & sonore Carole Vergne
créé et interprété par Sophie Dalès, Michèle Pédezert,
Valérie Pédezert et Carole Vergne